Présentation de « Regarder d’en haut », un court-métrage sur Pauline Jaricot

Le court-métrage consacré à la prochaine bienheureuse, Pauline Jaricot, réalisé par l’agence Fides et promu et produit par les Œuvres pontificales missionnaires, s’intitule Regarder d’en haut.

La présentation, qui aura lieu vendredi prochain, le 13 mai à 16h30 à l’auditorium Jean-Paul II de l’Université pontificale urbanienne, sera suivie par des interventions de la part de Mgr Giampietro Dal Toso, président des Œuvres pontificales missionnaires, du père Tadeusz Nowak, secrétaire général de l’Œuvre pontificale de la propagation de la foi, et de Nataša Govekar, directrice de la direction théologico-pastorale du Dicastère pontifical pour la communication. Le réalisateur, les auteurs du court-métrage, quelques acteurs et collaborateurs de la production seront présents dans la salle.

Le film a l’intention de présenter sous forme d’un court métrage et de docu-film, l’histoire et l’expérience de la foi de Pauline Jaricot, en la racontant à travers les yeux et la vie de Claire, une jeune femme de notre temps. Donc une histoire dans l’histoire. Le but est celui de l’évangélisation, c’est-à-dire d’annoncer la centralité du Christ dans la vie de Pauline afin que le public, en particulier les jeunes, puisse se laisser interpeller par le message dans lequel la femme a cru, celui de l’Évangile.

Le choix s’est porté sur la narration, car l’histoire de Pauline Jaricot est celle « de ceux qui sont capables de dépasser les frontières de l’espace et du temps. Des siècles plus tard, il reste pertinent, car il nourrit la vie. » (cf. Message du pape François pour la 54e Journée mondiale de la communication, n. 2)

L’œuvre filmique entend communiquer avec des images et des musiques originales, la beauté et l’amour que Jaricot a trouvés en Dieu et qui ont généré sa passion missionnaire afin que, chez ceux qui la goûteront, un effet attrayant puisse être généré, véhicule authentique de la foi chrétienne. Pour cette raison, l’instrument – créé simultanément en cinq langues – sera destiné à des projections avec des objectifs d’animation missionnaire, mais il est également conçu comme un moyen pour la missio ad gentes, un travail utile pour les initiatives d’une « Église sortante », dans des lieux et des environnements non chrétiens, et sera donc mis à la disposition de toutes les directions nationales des Œuvres pontificales missionnaires dans le monde.

Le tournage du court-métrage a été réalisé au cours des huit jours passés par l’équipe de production en France, impliquant des jeunes du mouvement le Chemin-Neuf, qui a une branche dédiée à l’évangélisation par l’art, et les jeunes des Œuvres pontificales missionnaires en France.

Parmi les lieux de tournage, outre les lieux lyonnais où Jaricot a vécu son expérience de foi, figure également Rustrel, une commune située dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, connue pour le « Colorado provençal », où Pauline Jaricot avait fondé l’usine de Notre-Dame des Anges.

La fillette de trois ans qui a reçu le miracle de la guérison par l’intercession de Pauline Jaricot, Mayline Tran, apparaît également dans les dernières scènes du court-métrage. La famille Tran a participé à la phase finale du projet en partageant son esprit et racontant leur expérience.

La réalisation et la promotion du court-métrage ont été possibles grâce à la collaboration des directions nationales des OPM, notamment : Catholic Mission Australia, Missio Ireland, Missio UK, OMP España, OPM Canada francophone, OPM aux États-Unis, OPM Corée.